Théâtraliser l’improvisation théâtrale
J'ai suivi un stage de 5 jours l'été dernier (juillet 2017) : "Théâtraliser l’improvisation organisé et animé par Ian Parizot et Emmanuel de Chavigny" (Again! productions).
Dans une ambiance à la fois décontractée et bienveillante, j'ai vécu ce stage intensément et avec un immense plaisir. En sus d’acquérir et consolider des compétences en impro, il m'a permis d'envisager de nouvelles perspectives que ce soit quant à l'utilisation de la scène, le jeu du personnage qui ne doit pas lâcher son émotion, l'importance du silence qui peut donner un relief impressionnant à une simple réplique comme "désolée", le plaisir de proposer des scènes (je m'en suis donnée à cœur joie)... tout en tissant des liens chaleureux et forts entre les participants que j'ai encore la chance de croiser.
Régulièrement, il me revient des passages de ce stage que ce soit des images de scènes jouées, de notre spectacle final, de nos repas du midi, d'un entrainement au jardin du Luxembourg par un fabuleux matin d'été, dans un silence épais de complicité.
Je ne suis "sortie" de ce stage que fin juillet et parfois j'y suis encore.
Cliquer ici pour visualiser le document collaboratif réalisé à l'issu du stage
Dans une ambiance à la fois décontractée et bienveillante, j'ai vécu ce stage intensément et avec un immense plaisir. En sus d’acquérir et consolider des compétences en impro, il m'a permis d'envisager de nouvelles perspectives que ce soit quant à l'utilisation de la scène, le jeu du personnage qui ne doit pas lâcher son émotion, l'importance du silence qui peut donner un relief impressionnant à une simple réplique comme "désolée", le plaisir de proposer des scènes (je m'en suis donnée à cœur joie)... tout en tissant des liens chaleureux et forts entre les participants que j'ai encore la chance de croiser.
Régulièrement, il me revient des passages de ce stage que ce soit des images de scènes jouées, de notre spectacle final, de nos repas du midi, d'un entrainement au jardin du Luxembourg par un fabuleux matin d'été, dans un silence épais de complicité.
Je ne suis "sortie" de ce stage que fin juillet et parfois j'y suis encore.
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